mercredi 20 avril 2016

Guy Émile : "Je vais souvent au ciel et Je reviens sur terre...."

MESSAGE DU G.M DE L’O.P.H. DU 29 OCTOBRE 2006

DENONCIATION DE LA GESTION FINANCIERE 
DE PAPA TCHINONA (suite) : EXTRAITS DES CASSETTES

I- INTRODUCTION
A mes très chers aimés et respectés, les gros chefs, les grands chefs de l’ASLA O.P.H.,

Papa Mikoungui Loundou Charles et les gros responsables de la section de Pointe Noire. Aujourd’hui nous sommes dimanche le 29 octobre 2006. Vous n’allez peut-être pas bien m’entendre parce qu’il pleut ici à Kibossi. Mais, je vous prie de prêter attention. Je viens par ce message vous donner d’autres nouvelles par rapport à la cassette que vous avez reçue hier ou avant hier.

En fait, je n’avais pas l’intention de vous faire écouter les séquences des cassettes que Papa Tchinona m’envoie comme réponse car ce n’est pas bien, ce n’est pas poli, ce n’est même pas dans mes habitudes de faire ces genres de choses. Je suis cependant étonné de voir que certains frères et sœurs vont jusqu’à dire qu’Émile est un menteur, il est comme ceci, il est comme cela. C’est pour cela que je me suis vu obligé de vous faire écouter les séquences des réponses de Papa Tchinona. Vous allez écouter ici la réponse qu’il m’a donnée dans sa cassette du 9 octobre 2006. Cette réponse est relative à la cassette que je lui avais envoyée ainsi que la note que j’avais écrite au sujet des nouvelles dispositions de gestion financière à la section de Pointe Noire. J’avais dit dans la lettre et dans cette cassette qu’à partir de cette date, les présidents des sections d’arrondissement devaient s’occuper de la collecte des fonds du nsinsani, de la biéramycine, des cartes statutaires, … en fait, tout ce qui est finance. Je lui avais aussi demandé de rembourser l’argent de l’ASLA O.P.H. car ce n’est pas son argent, ce n’est pas mon argent, c’est l’argent des cotisants que sont les associés de l’ASLA. Ecoutez donc ce qu’il m’avait donné comme réponse :

II- PROFIL BAS

Papa Tchinona : (en vili) « A mon très cher aimé et respecté, son excellence Missobélé Bakékolo Guy Émile Loufoua Cétikouabo, Le Missionné du Christ Jésus, Le Représentant Légal de l’O.P.H. sur terre, Le Grand Maître des maîtres blancs et noirs, Le Président Fondateur de l’Association Louzolo Amour O.P.H., Mbua Nkanda, Baboya Balinga, ²Jamais Quipé², Cigarette Avalon, Petit Kapita de l’Éternel Dieu, 10/10, Batélé Basidi. Toi qui es notre guide, notre Père, toi qui nous amène à la vie éternelle. Papa recevez nos salutations les plus chaleureuses le matin, à midi et éternellement de la part de ton fils, ton serviteur, ton petit Frère Jean ChristO.P.H.e Tchinona Makosso, MC de l’O.P.H., Superviseur Général adjoint, le Président adjoint du BUCOPN-BUCOREK. Aujourd’hui nous sommes vendredi le 9 octobre 2006. Je suis à Brazzaville. Si Dieu le veut, je prendrai l’avion aujourd’hui même pour me rendre à Pointe Noire. J’ai reçu votre cassette du 7 octobre 2006 et j’ai compris tout ce que vous m’aviez dit. J’ai aussi reçu les salutations que Maman Suzanne Ntsiéla nous a envoyées, à moi et à toute ma famille.

« Maman Tchinona m’a appelé hier à 19h18 et je lui ai fait part de ça. Toute la famille s ‘est réjouie de ces salutations que vous leur avez adressées, vous et Maman Ntsiéla. A leur tour, Maman Tchinona et les enfants m’ont demandé de vous transmettre leurs profondes salutations. Elle m’a demandé de vous dire qu’elle se sent un peu mieux. Que Dieu vous garde afin que le travail d’autrui aille de l’avant !

« Si elle m’a appelé c’est parce qu’elle a appris beaucoup de choses à mon sujet par rapport à la gestion de l’ASLA. Vraiment Papa, je suis touché tout au fond de moi, j’ai honte. En vili on dit : le vili tient beaucoup à sa dignité. Je vous avais déjà dit ça une, deux ou trois fois. Voler ! Je suis devenu voleur ! Vraiment je ne sais que dire. J’ai dit à Maman que ceux qui t’ont informé sont mieux placés pour te dire ce qui se passe exactement à Pointe Noire. Quant à moi, si je me suis mal comporté, lui-même le Président Fondateur me le dira. Je dis que ce n’est pas un problème. J’ai trop honte. Si j’ai détourné l’argent ou encore, si j’ai fait ce qui n’est pas bien, vous qui connaissez tout ce qui se passe dans le monde, vous allez me dire puisque vous seul connaissez tout. Mais, pour tout ce qui se dit, ah ! Vraiment je ne sais quoi dire.

« Le travail de Dieu, c’est comme ça. Je dis souvent que je ne refuserai jamais de travailler pour Dieu et on ne peut jamais prendre des congés pour ce travail, non. Je n’ai pas refusé. Ah ! Il y a tellement des choses qui se disent sur moi ! Vraiment, pardonnes-moi papa, je vous demande la conduite à tenir, dites-moi ce que je dois faire, vous qui êtes notre guide. Dites-moi ce que je dois faire pour que ma dignité revienne. Que dois-je vraiment faire ?

« Aujourd’hui je vais prendre le vol pour repartir à Pointe Noire. Papa Sengué Sengué m’a aussi demandé d’apporter les papiers et quelques dossiers concernant le barrage, des dossiers que nous devrons présenter au Ministère des Mines et de l’Energie. Nous vous tiendrons au courant de tout ce qui se dira là bas.

« Dès mon arrivée à Pointe Noire, je réunirai tous les présidents des sections d’arrondissement pour qu’on fasse le point sur tout l’argent de l’ASLA, ce qui est en banque et aussi ce qui est du micro-barrage. Je leur ferai le point sur tout l’argent. Je leur ferai aussi le compte rendu sur Papa Sengué Sengué car nous lui devons encore de l’argent. En ce qui concerne les études, sur 8 millions qu’il nous avait demandés, seulement 4 millions ont été donnés ; et sur 970.000frs des travaux topographiques et hydrauliques, 700.000frs ont été versés et il reste 270.000frs, sans compter les frais d’ingénierie. Le jour où j’étais là bas, j’avais vu le cahier d’études déjà signé ainsi que les plans de la partie génie civil. Et je me dis que nous revenons de loin. Il a déjà reçu beaucoup d’argent, il est donc mieux qu’on continue avec lui puisqu’il a déjà réalisé toutes les études. Voilà donc Papa, ce que j’avais à te dire.

« Papa, maintenant je veux effectuer un voyage en France pour aller rester un peu en compagnie de Maman Tchinona mais, je vous demande la permission. C’est vous qui devez m’accorder cette permission, pas quelqu’un d’autre. Si cela ne dépendait que de moi, j’envisage partir le 25 octobre pour y arriver le 26 et dès le 20 novembre je serai déjà de retour. C’est ce que je pense, moi. Mais comme je l’ai dit plus haut, j’attends votre permission. S’il y a même un peu d’argent à envoyer à Maman Tchinona, je suis au garde à vous. Même pour le billet, je ne sais que faire. C’est ce que j’avais à te dire : je ne pouvais pas partir comme ça et laisser le travail d’autrui que tu m’as confié. Les travaux du barrage, du marché, je ne pouvais confier ça à personne, non. Et même quand vous devriez l’apprendre, vous n’aurez jamais été d’accord avec moi. Je n’ai plus grand chose à vous dire, je me remets à votre diligence.

« Quand vous me dites de faire quelque chose, je le fais. Vous savez d’où nous revenons, vous connaissez aussi quelles sont mes pensées. Si je fais le mal, vous le savez, je ne sais plus ce que je peux encore vous dire. Le combat qu’on a fait avec ceux qui sont partis, vous le savez. C’est tout ce que j’avais dans mon for intérieur. Je ne fais pas de ça un problème, j’ai seulement honte. Partout où je vais, quand je pense à ça, j’ai des soucis. Je n’ai bouffé l’argent de personne !

« Comme je l’ai dit, le travail de Dieu, c’est comme ça. Je ne fais que remercier Dieu. Je suis ton enfant, ton petit frère, ton serviteur.

« Salutations à Maman Ntsiéla. Qu’elle me donne toujours les conseils qu’il faut afin que je puisse bien faire ce travail ! Salutations aussi à vous tous. Que Dieu soit avec vous aujourd’hui, demain et éternellement ! Que Dieu vous emmène dans son Royaume céleste et que son travail aille de l’avant!
« Papa, dans la lettre que tu m’avais envoyée le 3 janvier 2006 et même dans une des cassettes que tu m’avais envoyée, tu m’avais donné beaucoup de conseils et tu avais dit ceci : ²Je vais plaider pour toi le dernier jour à cause du bien que tu fais pour moi.² Je ne pourrai jamais l’oublier et j’avais gardé ça dans mon cœur depuis là.

« Je veux que vous sachiez que j’ai beaucoup de respect pour vous, vous qui m’avez donné ce travail. Je vous respecte parce que vous m’avez promis que vous allez plaider pour moi. Vraiment papa, j’ai beaucoup de respect pour vous et j’ai mis tout mon espoir en vous. Je vous tiens par la main, ne me lâchez pas ! Tout ce que vous me demandez de faire, c’est ce que je fais. Papa, si vous m’abandonnez, où vais-je partir ? Si vous me laissez, comment vais-je commencer à pleurer ? En ce moment même, le cœur me fait mal au sujet de tout ce qui s’est répandu à Pointe Noire. Ah ! Qu’ai-je fais de mal ? Tous ceux qui écoutent ce qui se dit à mon sujet interprètent cela à leur manière. Pas plus tard qu’hier, on m’a encore appelé à ce sujet. Mais moi, que dirai-je encore de plus ? Je ne sais pas ce à quoi les gens pensent ! Je fonde tout mon espoir en vous, ne m’abandonnez pas ! Comprenez papa, ce que je suis entrain de vous dire.

« C’est tout ce que j’avais à vous dire. Que Dieu soit avec vous et qu’il travaille en vous afin que le dernier jour nous puissions tous rentrer dans son royaume céleste ! Je crois que nous serons tous dans la joie quand nous verrons que tous ceux de Louzolo vont rentrer. Ce sera une grande joie. Que Dieu nous pardonne tous pour nos manquements ! Que Dieu nous garde tous et qu’il nous assiste ! Voilà papa ce que j’avais à te dire. Je termine par là. »

III- LA NOUVELLE RESPONSABLE DU SERVICE COURRIER A POINTE NOIRE
Le Grand Maître : «A mes très chers aimés et respectés, les gros chefs, les grands chefs de l’ASLA O.P.H. au niveau de Poire Noire. Lorsque je retrouverai la cassette dans laquelle Papa Tchinona m’avait parlé de la quincaillerie, je vais vous faire une autre cassette. Pour le moment, je m’arrête par là.

En plus, Papa Mikoungui Loundou Charles ainsi que les gros responsables de la section de Pointe Noire, d’ici là, je vais envoyer Maman Mboumba Colette là bas à Pointe Noire. Elle sera dorénavant basée là bas et c’est elle qui va maintenant s’occuper des courriers. Elle les recevra et ira les déposer au N°14 de la rue Bergère à Bacongo à Brazzaville chez le Fr. Guy.

Auparavant, c’est la Sr Batetana, Maman Mabonzo qui recevait les courriers et Papa Tchinona les récupéraient par la suite pour les déposer à B/ville chez papa Guy. Si j’ai pensé envoyer Maman Mboumba s’occuper du courrier à Pointe Noire, c’est parce que papa Tchinona est en train de partir en France. Maman Batétana quant à elle ne pouvait non plus faire ce travail parce qu’elle est une femme mariée. Elle ne pourra pas se déplacer à tout moment pour aller déposer le courrier à Brazzaville. Ce n’est possible, ce n’est même pas poli de le faire. C’est donc pour cela que j’enverrai Maman Mboumba Colette Mamie Coco à Pointe Noire afin qu’elle s’occupe de la réception à Pointe Noire et du dépôt à Brazzaville de tous les courriers des sacrifices, des colis, cadeaux, dons et tout ce qu’on envoie. Tout ce que Maman Mabonzo recevait, c’est Mamie Coco qui le recevra dorénavant. Il s’agit: des courriers des sacrifices, les lettres personnelles, les cassettes, les colis, les dons, les cadeaux et tout ce qu’on m’envoie.
J’ai trouvé qu’il ne serait pas poli, ni spirituel de déranger une femme mariée pour ça. Maman Mboumba Colette sied bien à cette tache. Elle fait un grand travail ici à Nzaza Noa, elle connaît bien enseigner les enfants mais, vu l’urgence, je la réaffecte là bas à Pointe Noire pour qu’elle s’occupe des courriers. Il est vrai qu’il y a beaucoup de gens à Pointe Noire, mais je ne les connais pas bien de caractère. Or, je connais un peu Maman Mboumba de caractère. Et comme papa Tchinona a décidé d’aller en France, désormais c’est auprès de Mamie Coco qu’il faudra déposer tout. Elle arrive d’ici là à Pointe Noire. Maman Mboumba Colette est un peu plus dégagée et elle est libre pour faire des voyages. C’est aussi pour cela que j’ai pensé la responsabiliser en ce qui concerne la réception et le dépôt de tous les courriers, cadeaux, colis et dons. Elle les déposera à Brazzaville chez papa Guy qui, à son tour, envoie le tout chez moi à Kibossi.
Comprenez que pour éviter des confusions, nous ne pouvons pas confier cette tache à deux personnes. Sinon, au cas où on ne retrouverait plus un courrier ou un colis, on ne saurait jamais où aller le chercher surtout si personne des deux ne reconnaissait l’avoir reçu. C’est donc pour éviter les confusions que j’ai décidé qu’il n’y ait qu’une seule personnelle qui s’occupe de tout le courrier. Comme ça, s’il arrive quelque chose, on saura exactement où aller demander. Il s’agit là des affaires de Dieu.

1- AU SUJET DE L’ÉGAREMENT DES COURRIERS

Les courriers à l’Organisation, c’est la vie de tout un chacun. Voilà pourquoi il faut y faire beaucoup attention. Si un courrier d’autrui se perd, l’auteur de cet égarement doit savoir qu’au dernier jour, il aura plusieurs charges : d’abord ses propres charges et ensuite les charges des âmes dont les courriers ont été égarés. Comme les courriers égarés n’arriveront jamais et si les propriétaires de ces courriers, dans leur maladie, venaient à mourir, cette âme sera comptée sur la tête de celui qui avait égaré le courrier. Et ce sera dur pour lui le dernier jour : D’un côté il y aura ses propres péchés et de l’autre le poids des gens dont il avait égaré les courriers.

2- AU SUJET DES CIRCONSTANCE DU JUGEMENT DERNIER

Apprenez que les souffrances sont catégorisées. Lorsque je parle, les frères et sœurs semblent rêver. Non, ne rêvez pas ! Je parle là des choses réelles, à vous mes gros chefs, mes gros kalakas afin que vous soyez intelligents et que vous ne viviez pas les souffrances qui sont au delà de vos capacités. Le dernier jour, tout sera mis au clair et nous serons tous en un seul lieu qui n’est même pas aussi grand que Ararat. Mais dans ses mystères, Dieu fera que le monde entier se suffise en ce lieu. Nous nous verrons face à face : les auteurs des mauvais actes se verront avec leurs victimes respectives et ils revivront toutes les scènes qui s’étaient passées sur terre. Les scènes où les uns faisaient du mal aux autres. Le dernier jour sera vraiment difficile.

Voilà pourquoi, comme j’ai de l’amour pour les hommes que Dieu a créés, je vous parle de ces choses afin qu’à votre tour, vous en parliez aux autres. Comme je disais tantôt, les souffrances, il y en a des qualités : il y a des souffrances qui sont légères, souples et il y en a qui sont lourdes, très pesantes et ce, d’éternité en éternité. Ceux qui auront bien travaillé seront dans la joie éternelle. Maintenant, au cas où vous auriez des petites fautes, puis qu’en tant que Petit Kapita je serai un accusé-répondez, je plaiderai pour vous puisque je suis l’avocat de toutes les âmes que Dieu a créées.



3- L’ÂME - L’AVOCAT DU DERNIER JOUR - LA MISSION D’ÉMILE
Chaque homme a une âme. L’âme c’est ce qui donne à l’homme le souffle de vie. Par exemple, maintenant que je suis entrain de parler, tout ce que je dis vient de mon âme. Chaque homme a une âme. Lorsque Dieu avait soufflé dans les narines d’Adam et Eve, c’est son esprit qu’il avait insufflé en l’homme, et cet esprit réside dans l’âme qui nous donne le souffle de vie, le souffle avec lequel nous parlons.
C’est à Moi (Guy Émile) que Jésus le Père le Fils Le Saint Esprit avait confié les responsabilités d’être l’avocat défenseur des âmes des hommes du monde entier. L’humanité tout entière est sur mes épaules, c’est moi qui vais parler pour elle le dernier jour. Ma mission m’a été confiée par Jésus, pour ne pas dire Dieu. Ne vous trompez pas : Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit ne sont pas trois personnes distinctes, c’est une seule, unique et même personne. C’est le seul vrai Dieu et nous le lisons dans la bible : au commencement était la parole, la parole était avec Dieu et la parole est Dieu. C’est le même Dieu mais qui s’est manifesté de trois façons et moi Émile, je Le vois dans ces trois formes. Il m’est même déjà arrivé de voir les trois formes à la fois comme si c’était trois personnes différentes mais, il s’agit de la même personne : le seul et l’unique vrai Dieu. J’ai déjà enseigné sur toutes ces choses. Si les gens pensaient à écrire tout cela, je ne devais plus y revenir. Tout le temps je dis des choses mais les gens ne prêtent pas attention.

La première fois, dans ma tendre enfance, avant même que je ne sache que j’étais Batélé Basidi, je les avais vus, les trois. C’était dans ma tendre enfance, avant même que je ne rentre dans le coma dont je vous parle souvent, je les avais vus tous les trois. J’en ai déjà parlé plusieurs fois mais, les gens n’écrivent jamais ce que je dis comme si cela n’était pas important. Comment donc les gens vont-ils connaître l’histoire de Dieu par rapport à cette mission sécrète que Jésus m’avait confiée ? Lors qu’il était sur terre, Jésus n’avait pas achevé sa mission. C’est en fait à moi qu’il avait confié de l’achever : La mission sécrète de Jésus Christ. Les gens n’aiment pas écrire. Si je vous faisais passer des tests en rapport avec tout ce que j’ai déjà enseigné, ainsi que les dates des révélations, vous seriez tous échoués. C’est juste des rappels que je vous fais. Pardonnez-moi mes gros chefs. Ce qui est vrai c’est qu’il est avantageux pour nos âmes de connaître les choses de Dieu.



L’homme a plusieurs corps, même si nous ne parlons que du corps, de l’âme et de l’esprit. L’homme est extra cellulaire. Les Papa Mikoungui qui sont des grands médecins en savent quelque chose. Il est Batélé et Basidi et il est aussi médecin. Il connaît donc beaucoup de choses. Cela veut dire qu’à part le corps, l’âme et l’esprit, l’homme est extra cellulaire, il est la résultante de plusieurs composants.

4- COMMUNICATION PAR TÉLÉPATHIE
A une époque très ancienne, lorsque j’avais commencé avec les blancs à l’étranger, ils suivaient et respectaient scrupuleusement mes enseignements. Cela leur avait permis d’être spirituellement évolués. Ce qui faisait que quand je voulais parler à un frère ou à une sœur, quel que soit le lieu, le pays ou le continent où il se trouvait, je faisais juste une idée et, la personne savait déjà ce que j’avais à lui dire, comme si je venais de lui envoyer une cassette ou une lettre. Voilà pourquoi je dis souvent : « Faites seulement une idée ! » Je vous assure que c’est très facile d’arriver à cette niveau. Si nous n’y arrivons pas, c’est parce que nous avons trop de choses dans nos cœurs. Souvent nous revenons en arrière pour se nourrir encore de lait. Il y a aussi des fois où nous croquons des os parce que nous aurons avancé un peu. Et c’est comme ça tous les jours : on avance, on recule et on recule encore, pourquoi ça ? C’est tout simplement à cause de nos propres comportements que nous n’y arrivons pas. Que Dieu vous assiste afin que vous accédiez à la connaissance de ses bonnes choses !

IV- NE PAS ÊTRE ATTACHE A L’ARGENT

Je vous dis souvent que nous ne sommes pas encore au jour du jugement mais, nombreux ont déjà gagné leur vie éternelle grâce à leurs bons comportements et leurs bons langages. Nous les hommes, nous sommes trop attachés aux richesses de la terre et à l’argent. L’argent n’est pas une mauvaise chose, la richesse non plus. Mais, ne les mettons pas au centre de notre vie. Mettons-les au second plan, derrière. Sans argent, sans richesse, nous ne pouvons faire certaines choses, c’est vrai mais, il faut toujours reléguer les richesses et l’argent de la terre au second plan. Nous devons donc nous placer devant toutes ces choses afin de privilégier ce qui est de Dieu. C’est l’enseignement de Dieu qui nous conduira à la vie éternelle et dans la joie de tous les jours. 


Vous verrez la joie qu’il y a au ciel, elle est indescriptible. Elle est un peu semblable à la joie que ressent un nouveau-né le jour où il vient au monde. Quand on affecte une âme sur terre, elle passe par le ventre d’une femme, et quand le bébé naît, il se met à crier parce qu’il vient d’arriver dans un nouveau monde. Lorsque vous voyez un nouveau-né pleurer, ce sont en fait des cris de joie qu’il lance disant : « Mon Dieu, quel beau monde que celui dans lequel on m’a envoyé ! » Ça, c’est seulement lorsque nous naissons ici sur terre. Imaginez alors combien de fois la joie est plus grande au ciel ! Une joie sans fin, une joie qu’on n’a jamais vécue ici sur terre.

V- PROPAGER MES ENSEIGNEMENTS

Si je vous dis toutes ces choses, c’est parce que je vais souvent au ciel et je reviens sur terre. Je ne vous le dis pas pour que je sois considéré, non, loin de là. Je n’ai jamais cherché à être considéré. Je vous le dis, simplement pour que vous ayez de la connaissance en matière des vérités divines. Je ne suis pas orgueilleux, je ne serai jamais orgueilleux. Nègre que je suis né, nègre que je mourrai. Je vous donne là des enseignements, allez vous aussi enseigner aux autres partout où vous irez. Sachez que si vous n’enseignez pas ce que vous recevez, c’est un péché. Dieu vous demandera des comptes : Toi, on t’enseignait. Pourquoi cachais-tu ces enseignements au fond de ton cœur ? ²Mon Vaut-rien² que j’avais envoyé sur terre vous enseignait tout, pourquoi n’enseigniez-vous pas les autres afin que mes enseignements se répandent ? C’est là aussi une grande responsabilité. N’hésitez jamais de parler ! Si vous êtes écoutés, c’est bien. Si on ne vous écoute pas, c’est toujours bien. L’essentiel est que vous ayez enseigné. Vous voyez que moi, je n’hésite pas à vous parler car ma tache est aussi de vous enseigner afin que vous ne soyez pas ignorants des choses de Dieu. Que Dieu vous bénisse et que tout un chacun se mette à accomplir ce pourquoi Dieu l’avait envoyé sur terre, comme ça vous serez heureux le dernier jour du Seigneur.


VI- AU SUJET DES ANGES
Nous avons le rendez-vous de la fête de fin d’année, à Noël pendant presque une semaine. Ce sera ici à Kari Kari la Grande et Terrible Montagne trois fois sainte où réside Dieu Éternel O.P.H. Sébaoth, avec tout son Royaume céleste, tout son gouvernement, tous ses anges qui sont des milliers et des milliers. Les anges sont tellement nombreux qu’on aurait l’impression qu’ils remplissent tous les Cieux et toute la terre. Ils sont aussi nombreux que les grains de sable et ils sont repartis par départements. Ils travaillent chacun selon son département. Comme le dit la chanson protestante, chaque homme a son ange. On les appelle les anges gardiens. Quand l’homme se comporte mal, son ange gardien s’éloigne, il prend des distances car l’homme aura placé son petit dieu dans le cœur. La bible nous enseigne que Dieu est jaloux. Il n’aime pas que l’homme le mélange aux petits dieux. IL veut être seul dans le cœur de l’homme parce qu’il est son créateur. Dieu est comme une jeune mariée qui n’accepterait jamais partager son mari avec une autre femme. Dieu aussi est très jaloux. Il n’accepte jamais que l’homme aille chez les petits dieux sachant que Lui-même est là. Dieu est en l’homme puisqu’il lui a envoyé son ange.

Apprenez donc mes gros chefs que tout le gouvernement céleste ainsi que tous les anges sont à Kari kari, la Cité trois fois sainte, le Royaume Céleste de l’Éternel Dieu O.P.H. Sébaoth qui est descendu sur terre le 20 mai 1992 de 20h à 3h du matin. Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit s’est établi là bas avec tout son gouvernement : Les Tata Abraham, tata Isaac, tata Jacob, tata Joseph, tata Moïse, ils sont tous là.

VII- DE LA RENCONTRE AVEC ABRAHAM EN 1978

Vous vous rappelez de l'évènement du 8 octobre 1978 lorsque de retour du ciel, on m’attendait pour diriger une assemblée. C’est bel et bien Papa Abraham qui m’attendait et dès que j’étais arrivé, il m’avait tendu sa main droite pour me saluer. Il m’avait dit par la suite : c’est toi Émile que nous attendions pour diriger cette séance. Pour mieux vous décrire la scène, quand j’étais arrivé, papa Abraham était assis. C’est de cette position qu’il m’avait tendu sa main droite pour me saluer et il m’avait dit : « C’est toi Émile que nous attendions pour venir diriger cette assemblée. » Il faisait 20h du soir, et j’avais dirigé cette séance de 20h jusqu’à 6h du matin. Après avoir dirigé la séance, j’avais dit à papa Abraham que je devais rentrer. Il me souhaita alors de faire une bonne route.
Pourtant je l’avais déjà dit, mais lorsque vous faites des sketches, je ne vois jamais la scène où on s’était serré la main avec papa Abraham. Cette assemblée que j’avais dirigée de 20h à 6h du matin avait eu lieu sur une haute montagne de Loudima. Quand les anges m’avaient raccompagné sur terre, j’étais resté à genoux sur une autre haute montagne. C’est donc la deuxième nuit pendant que je rentrais que j’avais vu papa Abraham qui m’appelait sur la montagne où ils étaient. J’y étais monté très difficilement parce que la montagne était couverte de pierres qui rendaient la montée pénible. Arrivé au sommet de cette montagne, j’avais vu papa Abraham, il était devant toute une multitude de gens. Il me disait : Émile, c’est toi que nous attendions pour venir diriger cette assemblée. A ces mots, il m’avait tendu sa main droite pour me saluer et on s’était serré les mains. Je lui avais dit par la suite que j’étais très fatigué. Alors, après cette salutation, j’avais dirigé l’assemblée de 20h jusqu’à 6h du matin.

Tout le monde était là, tout le Royaume céleste était là et c’est à moi Émile qu’on avait donné le pouvoir de diriger cette assemblée de 20h à 6h du matin. J’étais par la suite rentré au village. Ce n’est pas mauvais que de se rappeler ceci parce qu’il s’agit ici de l’histoire de l’Association Louzolo Amour. Tout ceci vous aidera à connaître qui est vraiment son Président Fondateur. Quelles sont ses qualités ? D’autres personnes disent : j’ai rêvé, j’ai fait un songe … Moi Émile, par rapport à ce que je viens de vous dire, je n’avais pas rêvé. Je m’étais vraiment vu avec le Dieu des cieux et on s’était parlé ; les anges, les papa Abraham étaient là. Ce n’est pas des ²on a dit², non. Je ne dormais pas. J’étais vivant dans mon âme et conscience, j’avais salué papa Abraham et on s’était serré les mains. Rappelez-vous que tout dernièrement, en ce troisième millénaire, j’avais serré la main de Dieu le Père qui m’avait remis par la suite la canne qu’il avait, après m’avoir fait visiter les trois mondes. Je vous rappelle tout ceci, c’est pour que ceux qui veulent écrire, le fassent.

A ce sujet, je vous prie de dire à papa Kinko Léonard que j’avais reçu son manuscrit, il n’a qu’à écrire son livre, j’ai toujours oublié de le lui dire. Il n’a qu’à continuer à écrire ses livres.

Au revoir et à tout moment mes gros chefs. Que Dieu soit avec vous, qu’il vous bénisse, qu’il vous assiste, qu’il vous accorde « les tous, les tous, les tous » comme il nous les a déjà accordés. Que cela soit ainsi au nom de Jésus Christ ! Amen, amen, amen, que le Seigneur soit avec vous tous et avec nous tous. J’ai terminé par là. C’était : Missobélé Bakékolo Babindamana Mbua Nkanda Cigarette Avalon Petit Kapita de l’Éternel Baboya Balinga, un pauvre type.

Message transcrit et traduit du Kituba en français
Par la Commission Education de la section de 
Libreville - Gabon 

Guy Émile : Je Suis l'Avocat de Toutes les Âmes
du monde entier


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