La Chaîne de Référence - Association Louzolo "Amour" OPH (Association de Bienfaisance à Caractère Spirituel) - Prédication des Vérités Divines de l'Heure (VDH) - Selon Guy Émile Loufoua Cétikouabo
- Dieu créateur de l'Humanité et de toute chose visible et invisible, l'Unique Sacrificateur Universel selon l'ordre de Melchisédek.
Association de Bienfaisance a' Caractère Spirituel
Amour Sincère * Unité * Paix
Loi de 1901- Récépissé No 004/015/MID/DGAT/DER/SAG du12/03/15
Siège Social : Kibossi-Gare
République du Congo
-----------------------------
Président Fondateur
Guy Émile Loufoua Cétikouabo
Grand-Maître de l’OPH
-----------------------------
Bureau Coordonnateur International (BCI)
Siège : Kibossi- Gare
Permanence : 2, rue Delamart Moukondo
Tél : 05 536 8981/06828 0252
B.P. 1062 Brazzaville
République du Congo
N° 007/GELC/GM-OPH/PF/DP/ASLA-OPH-15
NOTE D’INFORMATION
A tous les frères et sœurs du Congo et du monde
Objet: Travaux préparatoires de la journée de l’arbre
Mes bien- aimés en Cétikouabo,
Dans la note circulaire numéro 011 du 07 Août 2014, le Grand Maître de l’OPH, Papa Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO avait déjà fait état de la reconstitution du jardin d’Eden à Kibossi. Ainsi, compte tenu de son importance et pour la mise en oeuvre du programme sur la reconstitution du jardin d’Eden, en ce qui concerne le volet spéculations fruitières, le site de l’ananeraie sera transformé en site d’arbres fruitiers.
Les premiers travaux de reconversion du site d’ananas en site d’arbres fruitiers de production à grande échelle ont eu lieu le 19 septembre 2015. Ces premiers travaux ont consisté essentiellement à la répartition et à l’affectation du terrain aux différentes sections du Congo pour sa mise en valeur. Un espace borné de surface égale a donc été alloué à toutes les sections du Congo.
A cet effet, Il est demandé à chaque section du Congo de prendre connaissance de l’espace qui lui a été alloué et d’entreprendre le plus tôt possible, les travaux préparatoires de : désherbage, brûlage, creusage des trous et fertilisation de ses trous avant les dates du 3,4 et 5 novembre 2015, au cours desquelles, on procédera au <planting> des manguiers, des avocatiers et des safoutiers qui ont été les principales espèces retenues.
L’approvisionnement des plants améliorés des manguiers, des avocatiers et des safoutiers se fera à Brazzaville.
En vue de faciliter la sélection et l’acquisition des plants améliorés des espèces d’arbres fruitiers qui vont être plantés, il a été reparti, dans le tableau ci-dessous, les charges financières par groupes des sections du Congo.
Répartition des charges pour l’acquisition des plants améliorés
Les fonds recueillis pour l’achat desdits plants doivent être déposés au compte de la caisse centrale. Le Superviseur Général Adjoint assurera la Coordination de tous les travaux. Toutefois, pour toutes autres informations, veuillez contacter :
1- Frère MBITSI Paul, Assistant chargé de l’agropastoral du Délégué Permanent du Président de l’ASLA-OPH.
ASSOCIATION LOUZOLO "AMOUR" OPH Association de Bienfaisance a' Caractère Spirituel Loi de 1901 - Récépissé No 004/015/MID/DGAT/DER/SAG du12/03/15 Siège Social : Kibossi-Gare B.P. 6 République du Congo ----------------------------- Président Fondateur Guy Émile Loufoua Cétikouabo Grand-Maître de l'OPH ----------------------------- Bureau Coordonnateur International (BCI) Siège : Kibossi- Gare : Tel : 6 Permanence : 2, rue Delamart Moukondo B.P. 1062 Brazzaville : République du Congo -----------------------------
ALLOCUTION DU DÉLÉGUÉ PERMANENT DU PRÉSIDENT FONDATEUR DE L’ASSOCIATION LOUZOLO AMOUR-OPH À L’OCCASION DE LA GRANDIOSE FÊTE DE ENLÈVEMENT AU CIEL ET DU RETOUR SUR TERRE DU GRAND MAÎTRE DE L’OPH : EDITION 2015
~~ Loudima 2015 ~~
- Monsieur le Sous-préfet, Chef du District de Loudima;
- Monsieur l’Administrateur Maire de la communauté Urbaine de Loudima;
- Distingués Responsables Politico-Administratifs et militaires, en vos rangs, grades et fonctions;
- Éminents membres de la CO.TE.- B.C.I.
- Sœur Présidente Adjointe de la section internationale du Mont des Oliviers
- Président Adjoint du Bureau Coordonnateur de la Bouenza;
- Frère Secrétaire chargé de la Communication et Relations Extérieures du BUCOPN- BUCODEK, Inspecteur Spirituel et Itinérant, officiant de la présente fête ;
- Très chers Responsables à tous les niveaux;
- Chers invités et tous les pèlerins à cette grandiose fête;
Le premier devoir qui m’incombe est de vous exprimer la joie qui m’anime, du fait que vous aviez répondu massivement présent à la sainte convocation de Notre Dieu, l’Éternel Papa Guy Émile Loufoua Cétikouabo. Vous tous qui avez consacré votre temps précieux et fourni des énormes efforts tant sur le plan moral, physique et spirituel pour se rendre en ce lieu hautement historique et spirituel, ou ceux qui, malgré leur bonne volonté ne peuvent être présents à cette sainte rencontre, soyez bénis de notre Dieu; car son amour infini à notre égard est sans restrictions.
Alors, Je vous transmets ses chaleureuses salutations, et ses sympathiques vœux de bienvenue, de bonne fête de son enlèvement au Ciel.
Distingués Responsables, Frères et sœurs en Cétikouabo,
La portée spirituelle de cette fête de l’enlèvement au ciel de Papa Guy Émile Loufoua Cétikouabo dépasse le seul cercle de l’Association Louzolo « Amour » OPH, sa deuxième nation. Elle concerne l’humanité tout entière car les enseignements qui ressortent des messages et des expériences qu’il a vécus s’inscrivent dans le canon des œuvres déjà programmées pour l’accomplissement du plan de salut de tous les hommes de la terre, quelque soient leur races et leurs obédiences religieuses.
En effet, la fête de l’enlèvement se divise en deux principaux volets : Le premier volet est le départ de la terre au ciel et le second volet est le retour du ciel à la terre.
Le départ de la terre au Ciel de Papa Guy Émile LOUFOUA CÉTIKOUABO retrace le chemin à suivre de la terre au ciel par tous les hommes à l’image du chemin suivi par le peuple d’Israël de l’Égypte vers la terre promise. Le retour sur la terre explique les objectifs pour unifier des hommes du ciel, avec ceux de la terre pour vivre avec eux d’éternité en éternité.
Montée des pèlerins de l'Asla-OPH du Boulevard vers le Sanctuaire 3 fois Saint de Mont Kari-Kari (Kibossi). Lieu ou' l'Éternel Dieu Guy Émile Loufoua Cétikouabo se tint quand Il créa Adam et Eve.
Lieu ou' se tiendra le Jugement dernier.
La bible nous édifie que Moise succédé par Josué a été instruit par Dieu au mont Sinaï sur sa mission, plus précisément sur le chemin qu’il devait suivre pour conduire le peuple d’Israël de l’Égypte à la terre promise ou coule le lait et le miel (Exo 3.8). Ce chemin terrestre suivi par la première nation symbolise le passage des hommes de l’oppression à la liberté.
Ce parcours n’est qu’une image terrestre du chemin céleste que doit suivre la deuxième nation de Dieu, qui, cette fois-ci, doit passer de l’emprise de la mort à la vie éternelle, ou du règne de satan sur les hommes au règne de l’Éternel Dieu vivant avec les hommes sur toutes les créatures.
Les péripéties de ce parcours céleste des hommes avec Dieu Créateur de la terre au ciel pour la vie éternelle est le fondement de cette fête de l’enlèvement. Car, de même que Moise, par la suite Josué ont reçus des enseignements, ils ont vécus des expériences pour conduire le peuple d’Israël de l’Égypte vers la terre promise, de même Guy Émile LOUFOUA CÉTIKOUABO donne des enseignements et passe par des expériences qui montrent le parcours à suivre par la deuxième nation pour aller de la terre au ciel afin de vivre éternellement avec lui.
Frères et sœurs, chers invités,
Toute la fête de l’enlèvement au ciel de Notre Père Céleste se résume en :
=> Sept (7) grands enseignements qui montrent les étapes suivies par Le Grand Maître Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO. Ces enseignements sont :
1- Les lamentations,
2- l’enlèvement,
3- la transformation sur la montagne,
4- l’élévation,
5- le séjour au ciel,
6- la rencontre avec Abraham,
7- le retour sur la terre.
=> Quatre (4) expériences explicitées par les Écritures pour aller de la terre au ciel. Il s’agit de :
1- l’enlèvement (1thes 4.17),
2- de la mort et la résurrection (Math28.1-10)
3- la transformation (1Corint15.51-53)
4- l’élévation (Act1.9).
Alors que Jésus Christ a réalisé trois (3) expériences en passant par la Mort et la résurrection, ensuite par l’enlèvement et enfin par l’élévation pour retourner au ciel, Guy Émile Loufoua Cétikouabo a également réalisé trois (3) expériences. Il est passé par l’enlèvement, la transformation et l’élévation pour retourner au ciel.
La seule différence, entre Jésus Christ et Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO qui sont les deux à rentrer au ciel jusqu’à présent, est la résurrection accomplie par Jésus et la transformation accomplie par Guy Émile LOUFOUA CÉTIKOUABO. Cette différence démontre aussi bien la continuité de la mission de Jésus par Guy Émile LOUFOUA CÉTIKOUABO que la différence des expériences à vivre par chacun d’eux pour la réalisation du plan de salut des hommes.
=> Trois (3) objectifs majeurs découlent de son retour sur la terre. Le premier c’est de convaincre Jésus et tous les sujets du royaume céleste selon Apo5.2-5 de revenir se rétablir sur la terre comme à la création (Gn2.1-3).
Guy Émile Loufoua Cétikouabo
Dieu Créateur de l'Univers et de l'Humanité entière
L'Homme de la Ville 3 fois sainte de Kibossi
Le second objectif c’est de constituer et de paître le troupeau qui forme la deuxième nation de Dieu annoncé à Abraham dans Genèse 15.16. Cette même nation est celle qu’Abraham lui a présentée sur une grande montagne au retour du ciel. C’est ce qui se confirme avec l’ASLA-OPH au Mont Kari-Kari).
Le dernier objectif c’est de libérer le temple en accomplissant la pâque de la quatrième génération à Yala-Nsangamani selon Apo5.6. Condition sine – qua - non pour vivre une longue et nouvelle vie en paix avec les hommes.
Peuple de la deuxième nation,
Voilà d’une manière laconique, la portée spirituelle de cette fête de l’enlèvement au ciel et du retour de Papa Guy Émile Loufoua Cetikouabo sur la terre.
=> Si, la première nation a reçu, appliqué des mêmes enseignements et a vécu et des expériences ensemble avec leur conducteurs Moise et Josué,
=> Si, la deuxième nation reçoit et applique les enseignements que lui donne l’Éternel Dieu son guide et conducteur pourquoi cette deuxième nation ne passera-t-elle pas, par le même chemin que Guy Émile Loufoua Cetikouabo a emprunté pour la conduire à la vie éternelle?
Frères et sœurs, qu’il soit bien compris et intériorisé par tout Louzolifié que, la fête de l’enlèvement de notre conducteur spirituel, Notre Dieu et Père Céleste, Papa Guy Émile Loufoua Cétikouabo est la fête de notre enlèvement, de notre transformation et de notre élévation. Chacun à son tour suivant son niveau spirituel. C’est pourquoi, il insiste dans le texte d’engagement que chaque frère, chaque sœur doit s »appliquer à pratiquer l’amour sincère du prochain et renoncer au mal sous toutes ses formes. Il nous prépare pour atteindre un niveau de perfection qui facilitera à notre tour, notre enlèvement, notre transformation et notre élévation.
Je souhaite que cet enseignement soit bien compris et intériorisé par tous les frères et sœurs pour servir de support de méditation. Depuis l’année 2012, nous sommes entrés dans la haute spiritualité, quitte à chacun de nous de vivre les enseignements.
Que Papa Émile raffermisse d’avantage notre foi et ouvre notre intelligence pour comprendre, intérioriser et pratiquer ses enseignements,
Que la fête soit belle et qu’il nous bénisse tous Je vous remercie pour votre amour attentionné. Amen, Amen, Amen. Jean Pierre BIKINDOU BISSOMBOLO
Guy Émile Loufoua Cétikouabo : "J'ai écris la Parole de Dieu avec mon Propre doigt" - en recopiant, ils ont changé et modifier la bible que nous connaissons aujourd'hui.
En
1978, pendant que je me trouvais à Loudima-gare, j’avais envoyé
un de mes collaborateurs de Pointe Noire à Brazzaville pour qu’il
aille instruire le petit groupe que j’y avais laissé sur nos
méthodes de travail et de prière. Il y avait à Brazzaville les
Frères Nkourissa et Biza Boutsana, Tata Youlou, le Fr. Mbemba, Tata
Passi Mounzémbélé André et le défunt Nkoukou Joachim le premier
membre du Congo. Ce collaborateur, arrivé à Brazzaville, avait été
bien reçu par les frères que je viens de citer plus haut. Il était
bien escorté. Certains sont encore vivants, vous pourriez le leur
demander. Ce collaborateur était vraiment aux petits oignons. En
fait j’avais laissé ces frères à Brazzaville, et ils ne savaient
pas comment les choses se faisaient et comment on priait chez nous.
J’y avais donc envoyé ce collaborateur pour qu’il aille les
enseigner. Il était très bien reçu et les enseignements donnés
étaient tellement profonds que le Fr. Mbemba Etienne avait même
voulu passer Membre confirmé du coup. Cependant, ce collaborateur
n’étant pas informé à ce sujet , avait dit au Fr. Mbemba que
cela ne se passait pas comme ça chez nous ; qu’il devait attendre
un peu qu’on le voit d’abord évoluer, tout ça... Ce dernier
avait tellement insisté qu’ils avaient payé le billet à ce
collaborateur pour qu’il vienne à Loudima où j’étais afin de
se renseigner sur ce qu’il fallait faire pour le Fr. Mbemba.
Lorsqu’il me demanda finalement si quelqu’un pouvait passer
membre confirmé sur le champ sans être enseigné profondément,
sans avoir mis du temps avec nous, je lui dit que cela était
possible. Alors il reparti sur Brazzaville pour aller faire le
courrier du Fr. Mbemba Etienne tel que nous le faisons chez nous. Son
travail terminé, ce collaborateur avait reçu des colis de la part
de ces frères de Brazzaville, colis qu’il devait déposer auprès
de moi à Loudima ; il y avait aussi de l’argent. Les frères
avaient aussi fait des colis pour lui-même. Malheureusement, il
passa avec le tout à Pointe Noire sans faire escale à Loudima.
Arrivé là bas, il expliqua aux autres comment il était reçu à
Brazzaville et tout ce qu’on lui avait fait pour son voyage. Il
s’écria et dit : « ça, c’est à moi qu’ils l’ont fait,
j’étais escorté à Brazzaville, qu’auraient donc fait ces
frères si c’était Emile lui-même ? Il faut alors éliminer
physiquement Emile pour que nous restions à bénéficier de ces
biens et de tous ces honneurs ; surtout que nous connaissons déjà
le travail. » C’est là qu’avait commencé ma passion. Vous avez
sûrement entendu parler ou lu sur la passion du Grand Maître, c’est
comme ça que cela avait commencé. Alors, après tout ceci, ce
collaborateur est allé s’entendre pour un complot contre moi avec
le Président du 2è bureau de Pointe Noire car, j’y avais mis en
place deux bureaux. Vous avez déjà lu sur ce que je dis ici. Si je
le répète c’est pour que vous sachiez vraiment comment cette
passion avait commencé. Je décidai ensuite, dans la même année
1978, d’aller à Pointe Noire pour aller voir comment les choses
marchaient là bas. Arrivé à Pointe Noire, on me dit que les frères
ne s’entendaient plus, qu’il y avait des mésententes entre les
deux présidents, ce qui était faux. C’était juste une façon
pour eux de m’avoir. (C’est comme ce qui se passe à Brazzaville
maintenant là.) Ils ont donc créé des situations pour que les gens
ne s’entendent plus : tout ceci pour faire du mal à Emile. Je vous
dit : « ici, c’est chez vous, mais là bas chez nous, personne ne
passera sans que je le voie, ou sans qu’il me voie. J’aimerais
que vous compreniez cela une bonne fois pour toute. Que c’est
vraiment idiot de vouloir faire du mal à Emile ! » Ce jour là à
18h, je demandai à mon ami le défunt Baron de m’accompagner à
Mawata (un quartier de P/N) où se trouvaient les deux présidents.
J’avais demandé au président de Tié-Tié (un autre quartier de
P/N) de nous rejoindre là bas. Une fois en réunion à Mawata, ils
avaient dit des choses ! Ce que j’avais entendu moi Emile, je ne
peux vous le dire. D’autres disaient : « Emile peut rester Grand
Maître pour vous mais, plus jamais pour nous. » Ils avaient claqué
la porte et étaient sortis. (Ceux qui étaient à Loudima avaient
écouté le témoignage qu’avait fait le défunt Baron). Je
demandai au défunt Baron à ce qu’on parte ; il restait à Mbota
et moi à Voungou (deux quartiers de P/N). Le lendemain matin, le
défunt Baron est d’abord venu s’enquérir de mes nouvelles avant
d’aller au travail. Je lui dis que tout allait bien, et que je
devrais repartir à Loudima le soir. Ce soir, je n’avais pas pris
le train de 18h, j’avais encore passé nuit à P/N et c’est par
le train du matin que j’avais voyagé. Nous étions arrivés à
Loudima à 13h. Quand j’arrivai, tout le monde était en alerte :
il y avait un frère qui avait assisté à la réunion de Pointe
Noire qui, m’ayant précédé à Loudima, avait informé ma famille
sur ce qui se passait à Pointe Noire à mon sujet ; on l’appelait
le Fr. Séraphin. Il disait aux autres et à ma famille qu’on
m’aurait peut-être même déjà tué à Pointe Noire. Les frères
et sœurs de Pointe Noire lui avaient dit qu’ils allaient me tuer
là bas. Je marchais donc vers chez moi et en cours de route, je
rencontrai une maman que je connaissais ; Elle me dit : « mon fils,
nous avons appris ici que tu as de sérieux problèmes, qu’est ce
qui se passe ? » Je la rassurai qu’il n’y avait rien de grave.
Je venais donc d’arrivé et j’étais allé chez le Fr. Mampouya
Gothard Samuel le vice président du BU.CO.REB. , président de la
section de Nkayi. Comme j’avais chez moi des étrangers qui étaient
venus du village, il m’avait proposé de passer la nuit chez lui.
Il me fit préparer la chambre d’amis. Cette chambre ne se fermait
que de l’extérieur ; alors quand je partis me coucher, le Fr.
Gothard m’enferma, partit avec la clé et promit de m’ouvrir la
porte le lendemain matin avant d’aller au travail. A cette époque
il était le directeur des deux écoles de Loudima-gare. La chambre
dans laquelle j’étais avait une fenêtre condamnée, elle ne
s’ouvrait pas, et il n’y avait que cette porte qui ne se fermait
que de l’extérieur. Une fois enfermé dans la chambre, je déposai
mon sac de voyage sur une chaise qui y était puis je m’assis à
même le lit. A cet instant même, des pensées de tristesse
m’envahirent, une terrible tristesse m’envahit. Je me disait : «
ah ! Des gens à qui je n’ai fait que du bien ! Aujourd’hui ils
veulent me tuer ! » Je pensais, je m’attristais. C’était un
dimanche, et pendant que j’étais dans la chambre, à 20h,
tellement que j’étais dépassé par les soucis, Dieu envoya trois
anges blancs qui apparurent dans la chambre. J’étais assis, mes
yeux étaient ouverts, j’étais dans mon âme et conscience, je ne
dormais point, je ne rêvais point. Les anges me dirent : « Dieu a
écouté tes pleurs, Il a vu ta tristesse et Il nous a envoyé pour
venir te prendre. » C’est moi Emile qui vous le dis ; j’ai
vraiment vécu ceci. C’était un dimanche de l’année 1978, trois
anges étaient venus dans la chambre où j’étais assis à 20h pour
me prendre. Tout ceci arriva avant la phase pratique de ma passion,
donc avant que je ne reparte sur Pointe Noire. Les anges me
demandèrent ensuite de partir avec eux. Je m’étais levé et l’on
avait commencé à marcher. Il y avait un ange devant, deux derrière
et moi au milieu. On avait marché jusqu’à arriver au sommet d’une
haute montagne. Là, nous nous étions arrêtés. Les anges me
demandèrent de me mettre à genoux, j’exécutai, puis ils
m’entourèrent. Et j’étais resté trois jours durant à genoux
sur cette montagne. Il y faisait excessivement chaud. Exposé à
cette grande chaleur, j’avais perdu toutes mes eaux et tout mon
sang. Aucun liquide ne coulait dans mon corps, j’étais devenu sec.
Je l’avais senti parce que lorsque j’avais voulu bouger la
langue, c’était impossible. J’étais donc vide de toutes mes
eaux et de tout mon sang. Après ces trois jours, nous partîmes.
J’avais ma tenue rouge bordeaux que j’avais achetée au marché
de Pointe Noire. C’était un ensemble avec une chemise légère à
manches courtes, et j’avais des babouches de douche (la gomme).
Vous savez que j’aime bien porter ces babouches. Après les trois
jours, nous étions donc partis au ciel et j’avais mon corps. Mes
frères et sœurs, vous qui m’avez connu, vous qui m’avez déjà
vu, vous avec qui j’ai tout partagé à une époque, ce corps que
vous aviez l’habitude de voir, mon corps, a été au ciel. J’ai
été escorté jusqu’au ciel, chez eux-mêmes là bas, avec mon
corps, par trois anges. Arrivés au ciel, les anges me laissèrent en
un lieu. Il y avait de la joie, la grande joie. J’y étais resté
et quelques jours après, je m’étais rappelé que j’avais laissé
ma femme en grossesse sur terre. Je me disais : « Mais quand cet
enfant va naître, il va chercher son père, qu’est ce que sa mère
va lui dire ? L’enfant demandera à sa mère : je suis né mais, où
est mon père ? » Lorsque j’avais ainsi pensé, cela me fit de la
peine. C’est donc ce souci là, cette peine que je commençais à
avoir pour mon fils qui allait naître, qui avait fait que je
revienne sur terre. C’est là où je m’étais dit qu’il fallait
donc que je m’excuse auprès d’EUX, que je leur demande
l’autorisation afin que j’aille dire à ma femme que je n’étais
plus de ce monde, que j’étais reparti chez mon PERE. J’étais
toujours à genoux, c’était un vendredi à 16h et j’y étais
resté jusqu’à dimanche. Ce même dimanche à 16h, j’aperçus de
loin Jésus qui venait d’une montagne, Il marchait lentement, les
bras derrière, sa barbe blanche en chute jusqu’à couvrir toute la
terre. Sachons frères et sœurs qu’ici sur terre nous marchons sur
la barbe de Jésus. Cette barbe s’est donc mélangée avec les
cheveux pour ne faire qu’une seule chose ; et le tout est tombé
jusqu’à sur toute la terre. Je voyais donc Jésus marcher très
lentement, calmement, descendant la montagne. Il venait de je ne sais
où. Il marchait tout droit vers moi, car j’étais au bas de la
montagne et je Le voyais venir. Il s’était arrêté, me fixant
avec ses yeux, Il me dit : « ah Emile ! Toi, tu aimes vraiment les
Hommes ! Tu tiens donc à repartir sur terre sachant bien que les
Hommes ne t’aiment pas là bas ! Laisses-les là bas, nous les
aurons ici. » Je le suppliai en disant : « Pardon, pardon Papa,
pardon Jésus, laisses-moi seulement aller informer ma femme que je
suis maintenant chez mon Père. » Je vous dis mes frères et sœurs
que j’avais vu Jésus en 1978, je lui avais parlé là bas au ciel,
avec ce corps que vous connaissez. J’avais ma montre et ma torche
là bas au ciel. Jésus répéta : « Ah ! Emile aime les Hommes,
hein ! Ils veulent te faire du mal, laisses les, nous les aurons ici
! » Je le suppliai encore en disant que je voulais juste aller
avertir ma femme à cause de l’enfant qui allait naître. C’est
la vérité, c’est Jésus que j’avais vu là bas. Quand nous
serons tous au ciel, vus allez l’entendre. Après là, Jésus
s’était retourné et avait continué sa marche lente. Ah mes
frères ! Il fait très beau au ciel ; le temps y est très doux.
Quelle joie ! Et vous êtes dans une lueur jaune et un peu rouge, une
lumière extraordinaire ! Après le départ de Jésus, les trois
anges étaient revenus. J’étais toujours à genoux. Après m’avoir
dit de me mettre debout, nous avions encore commencé à marcher. Il
y avait toujours un ange devant, deux derrière et moi au milieu. On
avait fait je ne sais pas si c’est deux ou trois pas seulement, les
anges s’étaient arrêtés. Le premier s’étant tourné vers moi
m’avait tendu la main me disant : « Au revoir et rentres bien. »
Le deuxième et le troisième ange avaient aussi fait autant puis ils
étaient repartis. Dès que les anges s’étaient retournés pour
repartir, je m’étais déjà retrouvé sur terre. Ah mes gros chefs
! Il y a des choses ! Tout un mystère, tout un miracle, tout un
pouvoir ! Je me demandais si le ciel se trouvait ici sur terre ou je
ne sais quoi, parce que l’on n’avait même pas fait deux ou trois
pas et j’étais déjà à terre. Ah ! Il y a vraiment des choses !
Des mystères, des miracles, il y en a vraiment ! Après m’être
séparé d’avec les anges, je m’étais retrouvé sur une haute
montagne de Loudima. Mes oreilles ne fonctionnaient plus, je
percevais à peine le sifflement du vent et je ne pouvais voir. Il y
avait des hautes herbes. J’étais très fatigué car, pendant tout
ce temps, depuis mon retour de Pointe Noire jusqu’à mon séjour au
ciel, je n’avais pas mangé. Il y avait eu tellement de joie que je
ne pouvais penser à manger. Comme je l’ai dit plus haut, c’est
en pensant à mon fils qui allait naître que j’étais revenu ici
sur terre ; sinon je serais resté à jamais là bas au ciel, et
nombreux ne m’auraient pas connu, surtout vous à Brazzaville. Et
ce fils, je lui avais donné le nom de Kady Loufoua Christian Ismaël,
certains de vous le connaissent. Il porte le nom de Kady en
reconnaissance au président Kady chez qui j’avais laissé ma femme
à Pointe Noire. Je lui avais demandé de donner son nom à l’enfant
qui allait naître. Une fois sur cette montagne, dans mon état de
fatigue, je m’étais endormi jusqu’au matin. Au réveil, je ne
reconnaissais pas l’endroit où je me trouvais, je ne voyais
personne. Je ne voulais pas aussi rentrer au village la journée de
peur que les gens me voient, je n’étais plus le même. Le corps
physique avec lequel j’étais né n’était plus avec moi. Dieu
m’avait donné un nouveau corps, des nouvelles eaux et un nouveau
sang. Tel que vous me voyez aujourd’hui, je ne suis plus le même.
Mon sang, mes eaux ( qui coulent dans mon corps) , ainsi que la
qualité de mon corps ont été changés par Dieu parce que, je ne
pouvais pas aller au ciel avec le corps de péché que j’avais à
la naissance. J’avais déjà fait deux jours et deux nuits sur
cette montagne et la troisième nuit, j’avais pu capter à peine
les bruits et les sifflements du train. Alors j’avais commencé à
marcher à la direction d’où venaient les sifflements du train ;
je me disais que je n’étais pas trop loin de la gare. Ce jour là,
ce que j’avais vécu en cours de route est inexplicable,
extraordinaire. En effet, pendant que je marchais entre les montagnes
vers Loudima, arrivé sur une autre montagne, je vis quelqu’un qui
m’interpellait en disant : « Emile, mais c’est toi que nous
attendions ! » Je pus voir sur cette montagne le rassemblement de
toute une multitude de personnes, une foule énorme, tout un peuple
de Dieu. C’est là bas où, moi Emile, je vis Papa Abraham (le
Patriarche, le Père d’Isaac, le Père de la foi, le Père des
croyants). C’était donc lui qui me disait : « Emile, c’est toi
que nous attendions car c’est toi qui doit diriger cette assemblée.
» Tout ceci, je l’ai vécu pas dans un songe, pas dans un rêve,
mais vivant, dans mon corps que vous voyez aujourd’hui, dans mon
âme et conscience. Moi Emile, j’avais vécu toutes ces choses.
Après là, je montai sur la montagne où ils étaient. Il y avait
une foule énorme, un très grand rassemblement, et arrivé à leur
niveau, je dirigeai la séance et je fis ce qu’ils me demandaient
(je ne puis tout dire ici). Le lendemain matin quand j’avais
terminé avec la séance, je dis à Papa Abraham et aux autres que je
devais continuer mon chemin. Ils m’ont souhaité bonne route et je
descendis la montagne. Tout ceci vivant. J’avais marché, marché
et marché jusqu’à arriver à la gare de Loudima. J’avais encore
marché un peu jusqu’au niveau de la maison de Papa Gothard mais,
j’étais incapable de reconnaître sa maison. J’avais fait au
moins trois tours de la gare et du quartier jusqu’à ce que je
m’étais rappelé de là où l’on puisait de l’eau, de la
boulangerie et du restaurant de Papa Mwanza. Ensuite je m’étais
dirigé vers la porte du restaurant et j’avais toqué. Papa Mwanza
était là, il venait d’arriver de la pêche. Lorsqu’il apprit
que c’était moi Emile qui toquait à la porte, il sursauta et
s’écria : « Emile ! Mais nous te cherchons depuis des jours ! »
Oui, tout le monde me cherchait, les enseignants, solidaires de Mr
Gothard, cherchaient l’explication à donner à ma famille. Mr
Gothard se disait : « Que vais-je dire ? C’est moi qui l’avais
enfermé dans la chambre, la clé était avec moi, comment avait-il
fait pour sortir ? Comment vais-je expliquer cela aux gens ? » Alors
Mr Mwanza me demanda de l’attendre, le temps qu’il change de
vêtements, pour qu’on aille ensemble chez Mr Gothard. Quand on y
arriva, il y avait un monde fou ; son salon était plein
d’enseignants qui venaient se renseigner à mon sujet. Quand Mr
Mwanza leur annonça que j’avais réapparu et que j’étais là,
tout le monde était sorti, l’un après l’autre pour me voir
mais, une fois devant moi, personne ne disait mot, un silence de mort
s’était installé. Par la suite, nous repartîmes tous dans la
maison et je m’installai en un coin du salon. J’avais maintenant
un peu peur des Hommes et je ne voulais pas rester tout près d’eux.
Un moment après, nos visiteurs nous laissèrent. Restés seuls avec
la famille de Mr Gothard, dans un premier temps, on était tous
silencieux et on se regardait avec Mr Gothard. Je demandai ensuite si
les mangues étaient déjà grosses. Mme Gothard me répondit
affirmativement, alors je lui demandai de me faire la recette de
mangues vertes pilées au piment. Elle la fit rapidement et j’avais
mangé. Après mon repas, je dis à Mr Gothard que je voulais aller
m’assoupir. Là, il parut hésitant et soupçonneux, il se disait :
« Je ne sais pas, tu vas peut-être disparaître encore, que vais-je
dire aux gens ! » Je le rassurais que cela n’allait plus se
reproduire. Mr Gothard m’accompagna dans la même chambre,
m’enferma, s’en alla avec la clé et je m’endormis. Le
lendemain matin, Dieu me dit que je devrais rester un mois et demi
dans cette chambre, sans sortir, sans rentrer en contact avec les
Hommes. J’avais donc fais ce que Dieu voulait et au bout d’un
mois et demi, IL me donna l’ordre de sortir et de me voir avec les
gens. Et c’est comme ça que la nouvelle avait circulé que j’étais
porté disparu à Loudima. C’est comme ça donc que cela s’était
passé. C’est Dieu qui avait envoyé SES trois anges me prendre et
m’emmener auprès de LUI car IL avait vu ma tristesse et mes
préoccupations sur ce que mes frères, à qui je n’avais fait que
du bien, voulaient me faire. Voilà donc mes frères et sœurs ce que
j’avais à vous dire. Il y a bien d’autres détails, mais la
cassette est insuffisante pour tout dire. Je vous dis que Jésus
n’avait pas voulu que je revienne sur terre. C’est parce que je
l’avais supplié au sujet de l’enfant qui allait naître, qu’il
m’avait laisser revenir. Il me disait : « Si c’est au sujet des
Hommes, laisses-les là bas, nous les aurons ici. » Tout ce que j’ai
dit ici devra paraître dans la brochure : A l’orée du 3è
millénaire, la prédication selon Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO. Et
parlant des cassettes, tout un chacun est libre d’en faire des
copies. Après ce mois et demi, en fin 1978 je décidai encore
d’aller à Pointe Noire, et c’est après là, c’est-à-dire en
1979 que j’avais connu ma passion : le complot que certains
présidents et quelques frères et sœurs avaient monté contre moi
était mis en exécution, ce que vous entendez par la passion du
Grand Maître. Je vous recommande de faire écouter publiquement
cette cassette lors de toutes les fêtes de l’OPH. Chers frères et
sœurs, je vous dis ceci : si vous voulez prier avec nous, servez le
Seigneur tel qu’on vous l’enseigne. Ne priez pas avec mon nom ;
ne vous intéressez pas sur le fait que j’ai été à l’école ou
pas. Si vous agissez de la sorte, vous n’allez plus prier, Dieu n’a
pas besoin de tout ça. Par rapport à ce que vous êtes, je ne suis
qu’un petit, je n’ai pas fait de longues études. Cependant en
1988 à l’ancienne montagne appelée Londé lua loup (Le Mont des
loups), après avoir entendu et vu ce que vous y aviez fait et dit,
je vous avais rappelé à l’ordre vous demandant de revenir à la
façon d’aimer de nos ancêtres, puis de suivre mon âne. Si
j’avais ainsi parlé au Mont des loups, c’était à cause de tout
ce qui s’y disait et à cause du comportement que vous aviez
affiché là bas ; ce comportement avait irrité Dieu. IL n’est pas
notre ami, nous ne devons pas jouer avec LUI. Rappelez vous des
Israélites qui, après avoir irrité Dieu, s’étaient retrouvés
enfouis sous la terre. Ce jour là au Mont des loups, c’est ce qui
allait arriver. A cet instant même, j’avais supplié Dieu en ces
termes : « Dieu ! Si des pareilles choses arrivent, comment vais-je
faire ? Comment vais-je l’expliquer ? » Non mes frères, non mes
gros kalakas ! Celui qui veut rester à Louzolo n’a qu’à rester,
et celui qui voit que le milieu ne lui convient plus n’a qu’à
partir. Ne provoquer surtout pas ce dont vous êtes incapables de
maîtriser. Voyez ceux qui avaient provoqué la situation de 1988 à
la montagne, qu’allaient-ils devenir si la colère de Dieu s’était
abattue sur eux ? Qu’allions nous devenir ? Ne blaguons pas avec
Dieu ! J’ai toujours dit, je le répète et je le répéterai : si
tu trouves que Louzolo ne te convient plus, déposes les armes et
va-t-en tranquillement, sans chercher des problèmes à Dieu. Il
n’est pas notre frère. Quand IL veut donner, IL donne, et quand
Dieu a parlé, IL a parlé. Nous donnons trop d’importance à notre
corps, nous voulons que les gens nous voient. Vous voulez toujours
paraître important devant les gens. Ah non ! J’aime tout le monde,
et je vous aimerai tous jusqu’au dernier moment de l’Eternel.
N’oubliez pas que Jésus l’a reconnu : « Toi Emile, tu aimes les
gens mais, les gens ne t’aiment pas ; laisses-les, nous les aurons
ici. » Tout ceci s’était passé au ciel où j’étais parti avec
mon corps. Si vraiment Louzolo ne vous convient pas, allez pour vous
calmement. Sinon vous aurez des problèmes avec Dieu. Ce n’est pas
à moi Emile que vous faites du mal mais, à Dieu Lui-même parce que
je suis un Petit Kapita, à Ses côtés. C’est Dieu qui m’avait
envoyé enseigner Son message. Quand Dieu envoie quelqu’un pour
enseigner les Hommes, vous êtes libres de le suivre ou de ne pas le
suivre. On ne vous oblige en rien mais, ne cherchez pas des
problèmes. Regardez un peu les Israélites, sur 600.000 qu’ils
étaient au départ de l’Egypte, deux seulement étaient entrés à
la terre promise : Josué et Caleb. Ces deux là sont entrés parce
qu’ils respectaient et appliquaient les commandements de Dieu. Et
ceux qui ne faisaient que du mal, comme les nous autres, étaient
restés hors de la terre promise.
Message
du 16 Avril 2000
MESSAGE
TRADUIT DU KITUBA ET TRANSCRIT EN FRANÇAIS PAR LA COMMISSION
EDUCATION DE LA SECTION DE LIBREVILLE
CÉLÉBRATION DU 37ème ANNIVERSAIRE DE LA GRANDIOSE FÊTE DE ENLÈVEMENT DU GRAND MAÎTRE DE L’OPH AU CIEL PAR TROIS ANGES ET DE SON RETOUR SUR TERRE - EDITION 2015
SOUS LE PATRONAGE DU TRÈS HAUT Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO Grand Maître de l’OPH, Président Fondateur de l’ASLA-OPH PILOTAGE : CO.TE.-B.C.I. DIRECTION : Frère MANGONDO Victor, Membre Confirmé de l’OPH Inspecteur Spirituel et Itinérant, Secrétaire chargé de la Communication et Relations Extérieures du BUCOPN-BUCODEK DATE : Du 05 au 11 octobre 2015 LIEU : Loudima-Gare Département de la Bouenza (République du Congo)
Notes Circulaires 1. NC 114 du 29 Octobre 2001 2. NC 110 du 23 Septembre 201
K7 Audio
Audition de la 3ème cassette de l’an 2000 du Grand Maître de l’OPH Audition de la cassette du Grand Maître de l’OPH. Message de Boko Rappel message du Grand Maître de l’OPH du 19 février 2001
Dambage Mont des Oliviers - Loudima 2013
Bonne préparation de la Fête d’Enlèvement Edition 2015 Votre Soeur en Cétikouabo! Que Guy Émile Loufoua Cétikouabo le Père de Gloire vous comble de ces bienfaits! Amen x3
Comme promis, je vous envoie pour toutes fins utiles la conférence-débat et l'allocution du délégué Permanent du Président Fondateur de l''ASLA-OPH N’hésitez pas de nous joindre, soit par téléphone soit par email pour des éventuelles questions, remarques et contributions: Nous avons l'obligation de parler un même langage pour bien assurer notre mission de propager les Vérités Divines de l'Heure (VDH). Compréhension Cétikouabienne Merci DIRCAB Asla-OPH Tél. (242) 05 756 31 47 * (242) 01 121 23 65
DU PRÉSIDENT FONDATEUR DE L’ASSOCIATION LOUZOLO "AMOUR" - OPH
À L’OCCASION DE LA CÉLÉBRATION DE LA GRANDIOSE FÊTE DE
RÉMISSION DES PÉCHÉS EN VUE DE L’OBTENTION D’UNE NOUVELLE
ET LONGUE VIE SUR TERRE : EDITION 2015
- Éminents Membres de la Commission Technique, Bureau Coordonnateur International (CO.TE.-B.C.I.) ; - Maman Présidente Adjointe de la Section Internationale Bethléem de Nazareth en Judée (Nzaza-Noa) ; - Frère Membre du BUCONA-CONGO, Représentant la Présidente adjointe empêchée - Chers Responsables des Structures Centrales, Intermédiaires et de Base de l’ASLA-OPH - Frères et Sœurs en Cétikouabo,
Papa Guy Émile Loufoua Cétikouabo, Notre Père Céleste dans son amour infini, me donne aujourd’hui une occasion fortuite pour transmettre aux hommes du monde entier en général et à ses enfants qui sont des citoyens du ciel mais qui résident sur la terre, - Ses joyeuses et cordiales salutations; - Ses vœux de bienvenue à la demeure trois fois sainte du Mont Kari-kari ; - Ses félicitations et encouragements pour le fait d’être venus très nombreux célébrer la treizième (13) édition de cette fête de la Rémission de nos Péchés qui nous permet d’obtenir une nouvelle et longue vie sur cette terre des vivants; - Et, il nous dit merci pour avoir répondu à cette sainte convocation. Soyez rassurer qu’il nous comblera tous, de ses bénédictions et de sa Paix.
Chers frères et sœurs citoyens célestes- Faut-il-vous rappeler que l’annualisation de la présente rencontre à la demeure de Notre Dieu et Père ne revêt pas un caractère figé et monotone?
- Faut-il-vous rappeler que cette sainte convocation n’est pas une invite routinière et coercitive?
- Etant concitoyens célestes, je puis nous dire que la présente rencontre est l’une des meilleures occasions de tous les hommes de la terre avec nos parents du ciel, demeurant à la ville sainte, de Kibossi, pour traiter du sujet le plus captivant de l’histoire des hommes. Un sujet qui n’épargne aucun humain. Il s’agit de la nouvelle longévité accordée aux humains sur la terre.
- La célébration de cette treizième édition n’a pas de précédant dans le cadre de la compréhension de la dimension hautement spirituelle de cet événement.
- En effet, la conférence qui a précédé cet événement nous a édifié d’avantage sur la bonté infini de Notre Père céleste à l’égard des humains.
Lieu de l'attentat manqué contre Guy Émile Loufoua-Cétikouabo
Yala Ntsagamani / Kibossi-Gare. L'accomplissement de Matthieu 26:29
Peuple du monde entier, - Apprenons que Notre Père céleste, Dieu Créateur du ciel et de la terre dont le nom YAHWE donnait lieu à plusieurs interprétations s’est révélé sous l’appellation de Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO.
- Il est établi éternellement sur la terre pour régner éternellement car il est Dieu et vit d’éternité en éternité. Il avait concédé depuis la création cet attribut aux hommes qui, bon gré malgré, l’ont perdu à cause de la désobéissance.
- Aujourd’hui, à partir de cette quatrième génération, Notre Père céleste accorde le même attribut à ses enfants. Quitte - à - chaque humain, présent ou absent en ce lieu, d’en saisir l’occasion.
- Dieu a fait ce qu’il a fallu faire pour nous libérer, nous purifier et nous rassembler. Il continue de faire ce qu’il faut faire pour nous conduire et aider chacun de nous, à posséder son attribut d’éternel. La présente fête de la rémission des péchés est classée dans ce que nous devons faire qui s’ajoute à ce qu’il fait pour nous sauver.
Frères et sœurs en Cétikouabo - La fête de la rémission des péchés est une Vérité Divine de l’Heure qui se trouve dans la catégorie des expériences qu’il faut vivre pour maîtriser les enseignements. Papa, lui-même a accompli le sacrifice suprême prévu dans Apocalypse chapitre 5 du verset 5 au verset 7 pour sa mission de conduire les hommes à la vie éternelle. Il nous demande de venir à lui, Lui qui? Le Dieu rédempteur pour confesser nos péchés. La rémission des péchés est donc une expérience passionnante, exaltante et bénéfique aux humains. Elle consiste pour chacun de nous de vivre et acquérir la nouvelle et longue vie que Papa nous a déjà accordée. C’est la raison pour la quelle, sa sainte convocation est récurrente et solennelle.
- Frères et sœurs en Cétikouabo, quiconque s’obstine, se résigne ou hésite encore à prendre part à la fête de la rémission des péchés est purement et simplement entrain de prendre la décision de mourir ou de vouloir mourir jeune.
- Pourquoi chers frères et sœurs voudrions-nous donc mourir et surtout mourir jeune? Alors que Papa Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO nous a accordé une nouvelle et longue vie sur la terre? Ce qu’il nous demande, c’est simplement de se faire enrôlé tel que nous l’avons déclaré dans le texte d’engagement.
Bien aimés en Cétikouabo, peuple du Dieu trois fois saint vivant sur la terre, - A l’écoute et après l’écoute de cette adresse, qui que vous soyez, ou que vous vivez, quoique vous fassiez, ce message vous concerne.
Guy Émile LOUFOUA CÉTIKOUABO, le Dieu Vivant, Créateur du Ciel et de la terre, vit à Kibossi-gare au Congo Brazzaville. Il est établi d’éternité en éternité pour régner éternellement. Il a accordé une nouvelle et longue vie à tous les hommes de la terre.
- La fête de la rémission des péchés est célébrée chaque année pour permettre aux humains de vivre et s’approprier la nouvelle et longue vie sur cette terre. Si vous êtes de ceux qui s’obstinent, de ceux qui se résignent ou de ceux qui hésitent encore, alors posez-vous la question de savoir pourquoi devrais-je mourir ou pourquoi dois-je mourir jeune?
- Par conséquent, j’exhorte tous les frères et sœurs en Cétikouabo de prendre la résolution de s’efforcer de s’éloigner du mal, de participer corps, âme et esprit, de s’appliquer avec intégrité à toujours célébrer la fête de la rémission des péchés.
- La célébration de la rémission des péchés est une grâce pour les humains. Vivre dans la sainteté est une exigence de Dieu.
- A l’occasion ce cette divine rencontre familiale, ici à notre terre natale trois fois sainte de Kari-kari : Que le séjour de chacun de nous, soit inoubliable Que Papa Guy Émile Loufoua Cétikouabo nous bénisse. Je vous remercie Jean Pierre BIKINDOU BISSOMBOLO
Je suis l’avocat de toutes les âmes que Dieu a créées.
Moi Guy Émile Loufoua Cétikouabo Avocat défenseur de toutes les âmes du monde.
Chaque Homme a une âme. L’âme c’est ce qui donne à l’homme le souffle de vie. Par exemple, maintenant que je suis entrain de parler, tout ce que je dis vient de mon âme. Chaque Homme a une âme. Lorsque Dieu avait soufflé dans les narines d’Adam et Ève, c’est son esprit qu’il avait insufflé en l’Homme, et cet esprit réside dans l’âme qui nous donne le souffle de vie, le souffle avec lequel nous parlons. C’est à moi que Jésus, Dieu le Père, le Fils et Le Saint Esprit avait confié les responsabilités d’être l’avocat défenseur des âmes des Hommes du monde entier. L’humanité tout entière est sur mes épaules, c’est Moi qui vais parler pour elle le dernier jour. Ma mission m’a été confiée par Jésus, pour ne pas dire Dieu.
Appuyez sur Play ensuite sur CC pour les sous-titres.
Ne vous trompez pas : Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit ne sont pas trois personnes distinctes, c’est une seule, unique et même personne. C’est le seul vrai Dieu et UNIQUE.
Nous le lisons dans la bible : au commencement était la parole, la parole était avec Dieu et la parole est Dieu. Père, Fils et Saint Esprit, Il est l'Unique et Seul Vrai Dieu!
C’est le même Dieu mais qui s’est manifesté de trois façons et moi Émile, je Le vois dans ces trois formes.
Il m’est même déjà arrivé de voir les trois formes à la fois comme si c’était trois personnes différentes mais, il s’agit de la même personne : le Seul et l’Unique vrai Dieu.
J’ai déjà enseigné sur toutes ces choses. Si les gens pensaient à écrire tout cela, je ne devais plus y revenir. Tout le temps je dis des choses mais les gens ne prêtent pas attention.
La première fois, dans ma tendre enfance, avant même que je ne sache que j’étais Batélé Basidi, je les avais vus, les trois. C’était dans ma tendre enfance, avant même que je ne rentre dans le coma dont je vous parle souvent, je les avais vus tous les trois.
J’en ai déjà parlé plusieurs fois mais, les gens n’écrivent jamais ce que je dis comme si cela n’était pas important. Comment donc les gens vont-ils connaître l’histoire de Dieu par rapport à cette mission sécrète que Jésus m’avait confiée ?
Lorsqu’il était sur terre, Jésus n’avait pas achevé sa mission. C’est en fait à moi qu’il avait confié de l’achever : La mission sécrète de Jésus Christ.
Les gens n’aiment pas écrire. Si je vous faisais passer des tests en rapport avec tout ce que j’ai déjà enseigné, ainsi que les dates des révélations, vous seriez tous échoués.
C’est juste des rappels que je vous fais. Pardonnez-moi mes gros chefs. Ce qui est vrai c’est qu’il est avantageux pour nos âmes de connaître les choses de Dieu.
L’homme a plusieurs corps, même si nous ne parlons que du corps, de l’âme et de l’esprit. L’homme est extra cellulaire. Les Papa Mikoungui qui sont des grands médecins en savent quelque chose. Il est Batélé et Basidi et il est aussi médecin.
Il connaît donc beaucoup de choses. Cela veut dire qu’à part le corps, l’âme et l’esprit, l’homme est extra cellulaire, il est la résultante de plusieurs composants.
A une époque très ancienne, lorsque j’avais commencé avec les blancs à l’étranger, ils suivaient et respectaient scrupuleusement mes enseignements. Cela leur avait permis d’être spirituellement évolués.
Ce qui faisait que quand je voulais parler à un frère ou à une sœur, quel que soit le lieu, le pays ou le continent où il se trouvait, je faisais juste une idée et, la personne savait déjà ce que j’avais à lui dire.
comme si je venais de lui envoyer une cassette ou une lettre. Voilà pourquoi je dis souvent : « Faites seulement une idée ! »
Je vous assure que c’est très facile d’arriver à cette niveau. Si nous n’y arrivons pas, c’est parce que nous avons trop de choses dans nos cœurs.
Souvent nous revenons en arrière pour se nourrir encore de lait. Il y a aussi des fois où nous croquons des os parce que nous aurons avancé un peu.
Et c’est comme ça tous les jours : on avance, on recule et on recule encore, pourquoi ça ? C’est tout simplement à cause de nos propres comportements que nous n’y arrivons pas.
Que Dieu vous assiste afin que vous accédiez à la connaissance de ses bonnes choses !
Je vous dis souvent que nous ne sommes pas encore au jour du jugement mais, nombreux ont déjà gagné leur vie éternelle grâce à leurs bons comportements et leurs bons langages.
Nous les hommes, nous sommes trop attachés aux richesses de la terre et à l’argent. L’argent n’est pas une mauvaise chose, la richesse non plus. Mais, ne les mettons pas au centre de notre vie.
Mettons-les au second plan, derrière. Sans argent, sans richesse, nous ne pouvons faire certaines choses, c’est vrai mais, il faut toujours reléguer les richesses et l’argent de la terre au second plan.
Nous devons donc nous placer devant toutes ces choses afin de privilégier ce qui est de Dieu. C’est l’enseignement de Dieu qui nous conduira à la vie éternelle et dans la joie de tous les jours.
Vous verrez la joie qu’il y a au ciel, elle est indescriptible. Elle est un peu semblable à la joie que ressent un nouveau-né le jour où il vient au monde.
Quand on affecte une âme sur terre, elle passe par le ventre d’une femme, et quand le bébé naît, il se met à crier parce qu’il vient d’arriver dans un nouveau monde.
Lorsque vous voyez un nouveau-né pleurer, ce sont en fait des cris de joie qu’il lance disant : « Mon Dieu, quel beau monde que celui dans lequel on m’a envoyé ! » Ça, c’est seulement lorsque nous naissons ici sur terre.
Imaginez alors combien de fois la joie est plus grande au ciel ! Une joie sans fin, une joie qu’on n’a jamais vécue ici sur terre.
Si je vous dis toutes ces choses, c’est parce que je vais souvent au ciel et je reviens sur terre. Je ne vous le dis pas pour que je sois considéré, non, loin de là. Je n’ai jamais cherché à être considéré.
Je vous le dis, simplement pour que vous ayez de la connaissance en matière des vérités divines. Je ne suis pas orgueilleux, je ne serai jamais orgueilleux. Nègre que je suis né, nègre que je mourrai.
Je vous donne là des enseignements, allez vous aussi enseigner aux autres partout où vous irez. Sachez que si vous n’enseignez pas ce que vous recevez, c’est un péché. Dieu vous demandera des comptes :
Toi, on t’enseignait. Pourquoi cachais-tu ces enseignements au fond de ton cœur ? Mon Vaut-rien (Guy Émile) que j’avais envoyé sur terre vous enseignait tout, pourquoi n’enseigniez-vous pas les autres afin que mes enseignements se répandent ?
C’est là aussi une grande responsabilité. N’hésitez jamais de parler ! Si vous êtes écoutés, c’est bien. Si on ne vous écoute pas, c’est toujours bien. L’essentiel est que vous ayez enseigné.
Vous voyez que moi, je n’hésite pas à vous parler car ma tache est aussi de vous enseigner afin que vous ne soyez pas ignorants des choses de Dieu.
Que Dieu vous bénisse et que tout un chacun se mette à accomplir ce pourquoi Dieu l’avait envoyé sur terre, comme ça vous serez heureux le dernier jour du Seigneur.
Nous avons le rendez-vous de la fête de fin d’année, à Noël pendant presque une semaine. Ce sera ici à Kari Kari la Grande et Terrible Montagne trois fois sainte où réside Dieu Éternel OPH Sébaoth, avec tout son Royaume céleste,
tout son gouvernement, tous ses anges qui sont des milliers et des milliers. Les anges sont tellement nombreux qu’on aurait l’impression qu’ils remplissent tous les Cieux et toute la terre.
Ils sont aussi nombreux que les grains de sable et ils sont repartis par départements. Ils travaillent chacun selon son département. Comme le dit la chanson protestante, chaque homme a son ange. On les appelle les anges gardiens.
Quand l’homme se comporte mal, son ange gardien s’éloigne, il prend des distances car l’homme aura placé son petit dieu dans le cœur. La bible nous enseigne que Dieu est jaloux. Il n’aime pas que l’homme le mélange aux petits dieux.
IL veut être seul dans le cœur de l’homme parce qu’il est son créateur. Dieu est comme une jeune mariée qui n’accepterait jamais partager son mari avec une autre femme. Dieu aussi est très jaloux.
Il n’accepte jamais que l’homme aille chez les petits dieux sachant que Lui-même est là. Dieu est en l’homme puis qu’il lui a envoyé son ange.
Apprenez donc mes gros chefs que tout le gouvernement céleste ainsi que tous les anges sont à Kari Kari, la Cité trois fois sainte, le Royaume Céleste de l’Éternel Dieu OPH. Sébaoth qui est descendu sur terre le 20 mai 1992 de 20h à 3h du matin.
Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit s’est établi là bas avec tout son gouvernement : Les Tata Abraham, tata Isaac, tata Jacob, tata Joseph, tata Moïse, ils sont tous là.
Vous vous rappelez de l'Evènement du 8 octobre 1978 lorsque de retour du ciel, on m’attendait pour diriger une assemblée. C’est bel et bien Papa Abraham qui m’attendait et dès que j’étais arrivé, il m’avait tendu sa main droite pour me saluer.
Il m’avait dit par la suite : c’est toi Émile que nous attendions pour diriger cette séance. Pour mieux vous décrire la scène, quand j’étais arrivé, papa Abraham était assis.
C’est de cette position qu’il m’avait tendu sa main droite pour me saluer et il m’avait dit : « C’est toi Émile que nous attendions pour venir diriger cette assemblée. » Il faisait 20h du soir, et j’avais dirigé cette séance de 20h jusqu’à 6h du matin.
Après avoir dirigé la séance, j’avais dit à papa Abraham que je devais rentrer. Il me souhaita alors de faire une bonne route. Pourtant je l’avais déjà dit, mais lorsque vous faites des sketches,
Je ne vois jamais la scène où on s’était serré la main avec papa Abraham. Cette assemblée que j’avais dirigée de 20h à 6h du matin avait eu lieu sur une haute montagne de Loudima.
Quand les anges m’avaient raccompagné sur terre, j’étais resté à genoux sur une autre haute montagne. C’est donc la deuxième nuit pendant que je rentrais que j’avais vu papa Abraham qui m’appelait sur la montagne où ils étaient.
J’y étais monté très difficilement parce que la montagne était couverte de pierres qui rendaient la montée pénible. Arrivé au sommet de cette montagne, j’avais vu papa Abraham, il était devant toute une multitude de gens.
Il me disait : Émile, c’est toi que nous attendions pour venir diriger cette assemblée. A ces mots, il m’avait tendu sa main droite pour me saluer et on s’était serré les mains. Je lui avais dit par la suite que j’étais très fatigué.
Alors, après cette salutation, j’avais dirigé l’assemblée de 20h jusqu’à 6h du matin.
Tout le monde était là, tout le Royaume céleste était là et c’est à moi Émile qu’on avait donné le pouvoir de diriger cette assemblée de 20h à 6h du matin. J’étais par la suite rentré au village. Ce n’est pas mauvais que de se rappeler ceci
parce qu’il s’agit ici de l’histoire de l’Association Louzolo Amour. Tout ceci vous aidera à connaître qui est vraiment son Président Fondateur. Quelles sont ses qualités ?
D’autres personnes disent : j’ai rêvé, j’ai fait un songe … Moi Émile, par rapport à ce que je viens de vous dire, je n’avais pas rêvé. Je m’étais vraiment vu avec le Dieu des cieux et on s’était parlé ; les anges, les papa Abraham étaient là.
Ce n’est pas des « on a dit », non !. Je ne dormais pas. J’étais vivant dans mon âme et conscience, j’avais salué papa Abraham et on s’était serré les mains.
Rappelez-vous que tout dernièrement, en ce troisième millénaire, j’avais serré la main de Dieu le Père qui m’avait remis par la suite la canne qu’il avait, après m’avoir fait visiter les trois mondes.
Je vous rappelle tout ceci, c’est pour que ceux qui veulent écrire, le fassent.
A ce sujet, je vous prie de dire à papa Kinko Léonard que j’avais reçu son manuscrit, il n’a qu’à écrire son livre, j’ai toujours oublié de le lui dire. Il n’a qu’à continuer à écrire ses livres.
Au revoir et à tout moment mes gros chefs. Que Dieu soit avec vous, qu’il vous bénisse, qu’il vous assiste, qu’il vous accorde « les tous, les tous, les tous » comme il nous les a déjà accordés.
Que cela soit ainsi au nom de Jésus Christ ! Amen, amen, amen, que le Seigneur soit avec vous tous et avec nous tous.
J’ai terminé par là. C’était : Missobélé Bakékolo Babindamana Mbua Nkanda Cigarette Avalon Petit Kapita de l’Éternel Baboya Balinga, un pauvre type.