Témoignage canon
vécu a' Béthanie la Porte d'Entrée au Ciel.
Rendu au Mont
kari-Kari en 2015
par ma'am mfumu
Sœur Chimène NTONDO Section de Paris (France) en présence des
sœurs : SICKOUD Christelle , NTONDO Vénus , MISSAMOU
Princillia toutes de Brazzaville.
J'avais quittée
Paris une semaine avant la fête afin de méditer avant que n'arrive
les pèlerins.
Le 27 Mars je me
rends donc a' BETHANIE
pour la méditation. En montant, je dis simplement aux autres sœurs,
Je dois me dépêcher car PAPA ÉMILE
m'attend. Je l'avais dit comme cela, sans savoir ce qui m'avait
poussé à le dire.
Nous avons donc
fait vite pour nous y rendre.
A notre arrivée au
sanctuaire, après notre entrée, je vis quelqu'un qui nettoyait le
Sanctuaire, ramassant çà et là, quelques déchets abandonnés par
les pèlerins. Sans y prêter trop d’attention, nous sommes
rentrées pour faire notre prière. Bien qu’à l'écart cet homme
que nous avons trouvé sur place, s’était joint à notre prière.
A la fin de
celle-ci, quand nous ouvrîmes les yeux, Il était toujours là , à
quelques mètres de nous. Il va lancer un grand soupir qui va attirer
notre attention. C’est alors que nous allons le voir hocher la tête
comme pour signifier quelque chose.
Intriguée, je vais
me tourner pour fixer le regarder d’avantage. Alors que je le
regardais, grande a été ma surprise de constater qu’il
ressemblait à papa GUY ÉMILE
LOUFOUA-CETIKOUABO sur sa photo
d’après l’attentat.
Ayant cette photo
chez moi, ce visage m’était familier. C’était vraiment le même.
A ce moment, il
s’est rapproché de nous pour nous saluer.
Après l’avoir
saluée, submergée par l’émotion, partagée entre la joie et la
peur, je me posais intérieurement la question sur cette apparition
dont je n’avais pourtant pas imaginée en venant au sanctuaire et
que je ne réalisais pas.
Guy Émile Loufoua Cétikouabo
après l'attentat manqué le 05 Février 2002
Comprenant qu’il
s’agissait là d’un véritable miracle, en faisant la relation
entre cette apparition et mon supposé rendez-vous avec papa Emile
que j’avais préalablement annoncé à mes sœurs, je trouvais la
réponse car, c’est lui qui manifestement m’avait inspirée.
Presque une heure
plus-tard, au moment de quitter le sanctuaire, malgré son
inattention à mon endroit puisqu’il continuait son labeur de
nettoyage des lieux, je me suis rapprochée de lui pour lui dire au
revoir. C’est alors qu’il s’est tourné vers moi, avec un
sourire, pour me regarder avant d’acquiescer.
Alors que nous
partions, une des trois sœurs avec lesquelles j’étais, était
également allée lui dire au revoir.
Pendant que nous
attendions cette sœur, nous avons remarqué que lui aussi venait
derrière cette dernière vers l’extérieur où nous étions
abritées sous un hangar du fait d’une soudaine pluie.
Après nous avoir
rejoints, une sœur va lui poser la question de savoir là où il
habitait. Cette question qui lui a fait rire, va lui permettre de
nous dire juste que : «
Même si je vous le dis, vous ne saurez pas le situer ni le
comprendre ».
Après un silence,
il va se rapprocher de nous pour nous poser la question de savoir si
DIEU pouvait mourir ?
Unanimement, nous
lui avons dit Non ! Devant notre réponse, il va poursuivre en
nous demandant : Pourquoi les gens disent qu’il était mort le
5 février 2002 alors que le travail initié à Béthanie, avait
commencé en 2006.
Cherchant à bien
comprendre ce qu’il venait de dire, je vais lui demander de répéter
ce qu’il venait de dire. Il va renchérir en disant : «
Nous étions trois à travailler ici ». (Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit).
A ce moment,
réalisant que j’étais vraiment en face de Dieu, je me suis
prosternée
devant Lui pour lui aussitôt faire une prière
pour de pardon.
A l’issue de ma
prière, il va me dire : «
tes péchés sont pardonnés et tu es déjà dans la maison de Dieu »
Il va ensuite, me faire plusieurs révélations personnelles qui
m’ont poussé à aller vers lui et l’embrasser.
Il va poursuivre en
citant quelques-uns des commandements déterminants et pertinents à
savoir :
Tu ne tueras
pas,
Tu ne
commettras pas l’adultère
Tu ne voleras
pas
Ni
n’insulteras pas.
Je lui posai la
question de savoir la date du jugement et s’il
reviendra le dernier jour sur nos péchés confessés et pardonnées.
Sur le jugement, il va me dire que celui-ci (jugement) était déjà
vécu depuis Mathieu 24 jusqu’à
l’Apocalypse. Sur nos péchés
pardonnés, il me répondit en ces termes : «
il y ’a péché et péché ».
Il dira : « qu’il y’a
des péchés qui sont pardonnés et il y’en a qui ne le sont pas et
qui restent ». Étonnée
par cette réponse, je vais lui demander comment cela était
possible.
Comme réponse, il
va nous poser la question suivante : « Avez-vous déjà vu une personne qui a tuer (bouffé) votre enfant
avouer le crime tout en demandant pardon ? »
Notre réponse fut
« non »
D’après cette
maxime, j’ai donc compris que si la
personne concernée par ce péché, ne demandait pas pardon à ceux
ou celles à qui le mal avait été fait, ce péché ne pourra jamais
être pardonné.
Alors qu’il
regardait une plante, il va nous poser la question de savoir si nous
étions capables de créer une plante comme celle qui était devant
nous. Ne le pouvant, nous lui avons dit non.
Il va nous dire
que, « satan n’a
rien crée mais malgré tout, beaucoup des gens sont allé chez lui
ce qui fait qu’il me reste peu d’enfants.
Beaucoup de personnes
dont des Responsables ne connaîtrons pas les cieux »
Il dit encore :
« la route de Kubola est en
voie de construction afin que vous l’empruntiez pour venir à
KIBOSSI sans difficulté. Aussi, il y’a une Mosqué qui arrive au
Congo à cause de la Lumière qui s'y trouve. Beaucoup des blancs
vont venir nombreux ».
Poursuivant
toujours, il va encore dire : « Quand
vous venez à Kibossi, je vous demande de respecter cette ville car
c’est là que se trouve le JARDIN D'EDEN. Il faut respecter Dieu
et ce lieu. N’oubliez pas les raisons de votre présence dans ces
lieux. Évitez les causeries inutiles qui ne vous donneront aucun gain. Concentrez-vous sur ce que vous venez faire».
A la fin de cette
causerie, avant de partir je lui ai donné 1.000cfa et il me dit merci
tout en me demandant si je connaissais l’histoire de la veuve dans
la bible. Je lui ai dit oui.
Quelques jours
après, à mon arrivée à KIBOSSI,
pendant que je me lavais dans la NGUETANIE,
papa ÉMILE s’est
manifesté dans le brouillard. Deux sœurs qui ont vu, m’ont
demandées de regarder en haut. C’est alors que je vais voir une
boule blanche très brillante.
Ensuite, comme nous
le faisons toujours, après la lecture des deux versets bibliques au
sanctuaire du mont KARI-KARI,
j’ai vu par terre deux références bibliques à savoir : LUC
21 : 1- 38 ET PSAUMES 23.
Grande a été ma surprise après la lecture de ces deux passages qui
faisaient allusion aux sujets de discussion que j’avais eu quelques
jours auparavant avec Papa lors de son apparition à Béthanie.
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